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vendredi 31 mars 2017

Jules Verne et l'astrolabe d'uranie 01 Esther Gil - Carlos Puerta

Jules Verne et l'astrolabe d'Uranie 01

Une BD de Esther Gil et Carlos Puerta chez Ankama Éditions 

09/2016 (23 septembre 2016) 46 pages    Grand format

Parution: Série en cours (2 tomes)

Genre:Aventure

Scan: Rip Club


Été 1839. Alors qu’il n’est encore qu’un enfant rêveur, Jules Verne fugue. Son escapade le mène dans le port de Nantes où il assiste à une étrange scène : un homme acquiert un astrolabe qui serait doté d’un fabuleux pouvoir…


28 ans plus tard, l’écrivain embarque pour les Amériques afin d’y trouver l’inspiration. À bord, il croit reconnaître celle qu’il a tant aimée et qu’il pensait morte… Mais qui est ce mystérieux savant nommé Orpheus qui semble la retenir prisonnière ? Que manigance cet homme et quel lien peut-il avoir avec ce qu’il a vu dans son enfance ? Pour le découvrir, Jules se lance à la poursuite d’Orpheus.
De New York aux chutes du Niagara, il devra braver mille dangers dans ce monde que l’on qualifie de « nouveau » et qui lui inspirera tant de voyages extraordinaires.




Publié par Monsieur Augustin

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Jules Verne et l'astrolabe d'uranie 01 Esther Gil - Carlos Puerta

Jules Verne et l'astrolabe d'Uranie 01

Une BD de Esther Gil et Carlos Puerta chez Ankama Éditions 

09/2016 (23 septembre 2016) 46 pages    Grand format

Parution: Série en cours (2 tomes)

Genre:Aventure

Scan: Rip Club


Été 1839. Alors qu’il n’est encore qu’un enfant rêveur, Jules Verne fugue. Son escapade le mène dans le port de Nantes où il assiste à une étrange scène : un homme acquiert un astrolabe qui serait doté d’un fabuleux pouvoir…


28 ans plus tard, l’écrivain embarque pour les Amériques afin d’y trouver l’inspiration. À bord, il croit reconnaître celle qu’il a tant aimée et qu’il pensait morte… Mais qui est ce mystérieux savant nommé Orpheus qui semble la retenir prisonnière ? Que manigance cet homme et quel lien peut-il avoir avec ce qu’il a vu dans son enfance ? Pour le découvrir, Jules se lance à la poursuite d’Orpheus.
De New York aux chutes du Niagara, il devra braver mille dangers dans ce monde que l’on qualifie de « nouveau » et qui lui inspirera tant de voyages extraordinaires.




Publié par Monsieur Augustin

La découverte du monde en bandes dessinées 02 Edition Larousse (Intégrale de trois fascicules)


Une série académique, avec de multiples dessinateurs, équivalent d'une sorte d'encyclopédie historique en BD qui fut publiée dans les années 80 par Larousse, à destination du jeune public. De nombreux dessinateurs se sont succédé aux manettes.

Edition Larousse (Intégrale de trois fascicules)
4. Christophe Colomb

Une BD de Guido Buzzelli et François Lambert  chez Larousse - 1979




5. Vasco de Gama
Une BD de Jean Ollivier et Coelho, Eduardo  chez Larousse - 1979

6. Cortés au Mexique
Une BD de Carlo Marcello et François Lambert  chez Larousse  - 1979

 Hernando de Soto de la Florida au Texas
Une BD de Enric Sió et Mino Milani. et François Lambert  chez Larousse - 1979


jeudi 30 mars 2017

Murena 06 - 09 Jean Dufaux & Philippe Delaby


Genre :Histoire
Tomes : 11
Parution :Série en cours



6. Le sang des bêtes
Une BD de Jean Dufaux et Philippe Delaby  chez Dargaud - 2007
   06/2007  48 pages  978-2-505-00072-3  Format normal 63328




Résolu à venger Britannicus en tuant Néron, le gladiateur Balba a vaincu le colosse Massam chargé de l'éliminer par l'impératrice Poppée. De son côté, Murena se prépare à partir en Gaule dans l'espoir d'y retrouver celle qu'il aime et que l'empereur a fait enlever. Balba accepte de l'y accompagner à condition qu'au retour, il l'aide à libérer Rome de son tyran. Mais Poppée n'a pas dit son dernier mot... Le second tome d'un nouveau cycle ! Le règne de Néron et les moeurs de l'Antiquité romaine revisités sans tabous.




7. Vie des feux
Une BD de Jean Dufaux et Philippe Delaby  chez Dargaud - 2009
   11/2009 (13 novembre 2009)  46 pages  Format normal 



Le cycle de l'épouse se poursuit avec le septième tome des aventures de Murena. Au mois de juin 63 après J.C., Néron vient de perdre sa petite Claudia Augusta. le bébé n'avait que 4 mois et la détresse de son père est profonde. Aux marches de l'Empire, des juifs défient Rome et m'empereur s'interroge : quel est donc de maître que sert le dénommé Pierre ? Et Murena ? Il a perdu sa bien-aimée Acté et décide de quitter la Gaule pour rentrer à Rome. Mais quelle sera la réaction de l'imprévisible Néron lorsqu'il apprendra que le proscrit a regagné la cité aux sept collines ?
 8. Revanche des cendres
Une BD de Jean Dufaux et Philippe Delaby  chez Dargaud 

   11/2010 (12 novembre 2010)  45 pages  978-2-505-01016-6  Format normal 



Néron en a rêvé. Lucius Murena l'a fait : incendier Rome. Pourtant, en expiation de sa faute, le jeune patricien tentera de sauver un maximum de vies humaines. Chacun, nantis et plébéiens, cherche une issue. Tandis que certains se jettent dans le Tibre, d'autres atteindront non sans mal le Champ de Mars. Le quartier du Transtibérin est épargné par les flammes.

C'est là que vivent Pierre et les chrétiens. Plus homme que dieu, l'empereur est en proie au doute. Mais si Rome dévastée attise la cupidité des uns, elle révèle aussi quelques belles âmes


9. Les épines
Une BD de Jean Dufaux et Philippe DelabyU  chez Dargaud - 2013
   06/2013 (07 juin 2013)  46 pages  978-2-505-01652-6  Format normal 


Dans ce neuvième tome de Murena, Jean Dufaux et Philippe Delaby reconstruisent Rome et exposent les racines de la culture judéo-chrétienne. Néron craint de voir le peuple romain, horrifié par le grand incendie de Rome, se retourner contre lui s'il ne trouve pas de coupables
 à lui donner en pâture.
 Les chrétiens seraient des boucs émissaires parfaits ! La relation qu'entame Lucius Murena avec la belle Claudia l'empêchera-t-elle de se battre contre cette injustice ?



Scans: [Digital-1920] 


Collection en Langue Néerlandaise[06-09]Collection en Espagnol [06-09]


  • Publié par Monsieur Augustin

mercredi 29 mars 2017

TOTAL Journal, Nouvelle série nºs 08 - 12




























Ce Total Journal, distribué uniquement dans les stations d’essence, avait déjà connu une première version (entre juin 1958 et novembre 1965).

La nouvelle série, dont le premier numéro est publié le 4 mai 1966, va contenir de nombreux récits complets dus à de talentueux jeunes dessinateurs ; d’autant plus que, depuis qu’il est de retour en France, Mézières en est devenu le directeur artistique et qu’il a imposé son ami Christin (qui utilise toujours le pseudonyme de Linus) comme directeur de la rédaction ; ceci, du n°6 du 5 juin 1967 au trente-troisième, et dernier, en décembre 1971. Plus info



























Nº 08 Mai - Juin 1967
Nº 09 Juillet 1967
Nº 10 Août 1967
Nº 11 Septembre-Octobre 1967
Nº 12 Novembre-Decembre 1967


TOTAL Journal, Nouvelle série nºs 08 - 12




























Ce Total Journal, distribué uniquement dans les stations d’essence, avait déjà connu une première version (entre juin 1958 et novembre 1965).

La nouvelle série, dont le premier numéro est publié le 4 mai 1966, va contenir de nombreux récits complets dus à de talentueux jeunes dessinateurs ; d’autant plus que, depuis qu’il est de retour en France, Mézières en est devenu le directeur artistique et qu’il a imposé son ami Christin (qui utilise toujours le pseudonyme de Linus) comme directeur de la rédaction ; ceci, du n°6 du 5 juin 1967 au trente-troisième, et dernier, en décembre 1971. Plus info



























Nº 08 Mai - Juin 1967
Nº 09 Juillet 1967
Nº 10 Août 1967
Nº 11 Septembre-Octobre 1967
Nº 12 Novembre-Decembre 1967

mardi 28 mars 2017

Chère Patagonie. Jorge González

Chère Patagonie

Une BD de Jorge González chez Dupuis (Aire Libre)

08/2012 (24 aout 2012) 280 pages  Grand format 

Parti sur les races de ses ancêtres, nés dans la lotaine et mystérieuse Patagonie, Alejandro va découvrir que l'histoire des hommes est aussi celle du territoire qui les a vus naître, grandir, espérer et mourir. Par touches sensibles qui explorent toute la palette des sentiments, de la noirceur à la lumière, Jorge González nous entraîne avec lui dans le tourbillon de l'histoire argentine.

Aux côtés de Jorge González, trois fameux auteurs de BD argentins ont collaboré au scénario : Alejandro Aguado, Hernán González et Horacio Altuna. Le précédent ouvrage de Jorge González, "Bandonéon", a reçu le prix du roman graphique Fnac Espagne et fait partie des "1001 BD qu'il faut avoir lues", l'ouvrage de référence de l'historien Paul Gravett.

Synonymes de bout du monde, de confins mystérieux, les terres d’Amérique australe ont longtemps hanté l’imaginaire occidental, depuis les géants patagons décrits par les premiers explorateurs jusqu’aux fuégiens « cannibales » exhibés dans les zoos humains de l’exposition universelle de 1878. Mais par-delà ces rares fantasmes autour de peuplades oubliées, la Patagonie demeure largement méconnue. Une méconnaissance d’ailleurs partagée par les Argentins eux-mêmes, trop souvent oublieux de l’histoire funeste qui présida au destin des provinces du grand Sud. C’est en partant à la rencontre de ses ancêtres que l’écrivain Alejandro Aguado lève un coin du voile sur ce passé presque effacé. C’est cette rencontre que Jorge González met ici en images.


Facundo, région du Chubut, un hameau perdu dans l’immensité désertique de la pampa. C’est autour de cette bourgade que s’articulent les différents chapitres de ce recueil, contant la saga familiale sur plus d’une centaine d'années, des massacres perpétrés par les colons de la fin du XIXème siècle contre les tribus Tehuelches et Mapuches, jusqu’au tout récent renouveau culturel de ces Amérindiens. Entre deux, l’écho lointain des conflits dans la vieille Europe, les soubresauts politiques de la jeune république argentine, la tyrannie de la junte militaire. Le quotidien de citoyens ordinaires. En huit récits de longueurs inégales, les auteurs brossent un tableau sensible de ce territoire et de ses habitants, évoquant la colonisation brutale des débuts, le métissage, la modernisation lente, l’exode rural, puis le retour aux racines familiales. Cependant, l’intérêt suscité par ces récits est également inégal. Passionnant quand il décrit les premiers immigrants, bouleversant quand, sous la plume d’Horacio Altuna, il raconte les prisons de la dictature, la curiosité s’étiole parfois quelque peu, certains personnages manquant singulièrement de charisme. Mais l’intensité dramatique revient intacte dans les épisodes contemporains, avec des caractères forts et des instants émouvants.


Ce qui unifie véritablement cette mosaïque de chroniques éclatées à travers le temps, c’est la touche si particulière du dessinateur - remarqué - de Bandonéon. Rarement le terme « évocateur » n’aura été aussi approprié que pour qualifier le style de Jorge González : nul naturalisme dans son trait, chez lui, tout est suggestion. La vérité se fait jour à travers les lavis, le crayonné sous-jacent affleurant à travers les fines couches d’ocres et de bruns aquarellés. Un crayonné d’une folle liberté d’ailleurs, sans encrage, guère plus détaillé qu’un story-board parfois, bien que d’une efficacité redoutable. Et puis les gris. Une incroyable richesse de tons sort de son pinceau, gris pâles translucides, gris olivâtres, gris sombres plombés, gris bronze, bistre, ivoire, une palette morne et vaporeuse d’où émerge pourtant un lyrisme absolu. Les larges compositions quasi abstraites figurant les steppes désolées du Chubut - aux maigres silhouettes se devinant entre brumes tenaces et vastes ciels obscurcis - sont emblématiques du souffle poétique agitant cette œuvre. Le découpage est résolument dynamique, au gré des atmosphères retranscrites : gaufrier de neuf cases pour certaines séquences, ou de vingt cases sur une autre, succédant à des vues étalées en double pages, puis des planches en trois ou quatre strips, et ces images éclatées en myriades de pastilles juxtaposées.

Plus innovante encore, la - longue - dernière partie de l’album, véritable livre dans le livre, soixante-dix pages d’illustrations, esquisses, annotations, croquis sur le vif, recherches graphiques, pastels ou stylo-bille, mine ou aquarelle… une belle occasion pour l’artiste de déployer son talent dans cette sorte de making-of, racontant la genèse du projet et les enquêtes menées sur le terrain par Alejandro Aguado.

Comblant les promesses suscitées par son précédent opus, Jorge González démontre avec Chère Patagonie son statut d’auteur majeur de la bande dessinée contemporaine, par sa puissance graphique, par sa capacité à embrasser l’Histoire avec hardiesse, à manier tension dramatique et pauses contemplatives avec un égal bonheur.
Par O. Boussin



























Chère Patagonie. Jorge González

Chère Patagonie

Une BD de Jorge González chez Dupuis (Aire Libre)

08/2012 (24 aout 2012) 280 pages  Grand format 

Parti sur les races de ses ancêtres, nés dans la lotaine et mystérieuse Patagonie, Alejandro va découvrir que l'histoire des hommes est aussi celle du territoire qui les a vus naître, grandir, espérer et mourir. Par touches sensibles qui explorent toute la palette des sentiments, de la noirceur à la lumière, Jorge González nous entraîne avec lui dans le tourbillon de l'histoire argentine.

Aux côtés de Jorge González, trois fameux auteurs de BD argentins ont collaboré au scénario : Alejandro Aguado, Hernán González et Horacio Altuna. Le précédent ouvrage de Jorge González, "Bandonéon", a reçu le prix du roman graphique Fnac Espagne et fait partie des "1001 BD qu'il faut avoir lues", l'ouvrage de référence de l'historien Paul Gravett.

Synonymes de bout du monde, de confins mystérieux, les terres d’Amérique australe ont longtemps hanté l’imaginaire occidental, depuis les géants patagons décrits par les premiers explorateurs jusqu’aux fuégiens « cannibales » exhibés dans les zoos humains de l’exposition universelle de 1878. Mais par-delà ces rares fantasmes autour de peuplades oubliées, la Patagonie demeure largement méconnue. Une méconnaissance d’ailleurs partagée par les Argentins eux-mêmes, trop souvent oublieux de l’histoire funeste qui présida au destin des provinces du grand Sud. C’est en partant à la rencontre de ses ancêtres que l’écrivain Alejandro Aguado lève un coin du voile sur ce passé presque effacé. C’est cette rencontre que Jorge González met ici en images.


Facundo, région du Chubut, un hameau perdu dans l’immensité désertique de la pampa. C’est autour de cette bourgade que s’articulent les différents chapitres de ce recueil, contant la saga familiale sur plus d’une centaine d'années, des massacres perpétrés par les colons de la fin du XIXème siècle contre les tribus Tehuelches et Mapuches, jusqu’au tout récent renouveau culturel de ces Amérindiens. Entre deux, l’écho lointain des conflits dans la vieille Europe, les soubresauts politiques de la jeune république argentine, la tyrannie de la junte militaire. Le quotidien de citoyens ordinaires. En huit récits de longueurs inégales, les auteurs brossent un tableau sensible de ce territoire et de ses habitants, évoquant la colonisation brutale des débuts, le métissage, la modernisation lente, l’exode rural, puis le retour aux racines familiales. Cependant, l’intérêt suscité par ces récits est également inégal. Passionnant quand il décrit les premiers immigrants, bouleversant quand, sous la plume d’Horacio Altuna, il raconte les prisons de la dictature, la curiosité s’étiole parfois quelque peu, certains personnages manquant singulièrement de charisme. Mais l’intensité dramatique revient intacte dans les épisodes contemporains, avec des caractères forts et des instants émouvants.


Ce qui unifie véritablement cette mosaïque de chroniques éclatées à travers le temps, c’est la touche si particulière du dessinateur - remarqué - de Bandonéon. Rarement le terme « évocateur » n’aura été aussi approprié que pour qualifier le style de Jorge González : nul naturalisme dans son trait, chez lui, tout est suggestion. La vérité se fait jour à travers les lavis, le crayonné sous-jacent affleurant à travers les fines couches d’ocres et de bruns aquarellés. Un crayonné d’une folle liberté d’ailleurs, sans encrage, guère plus détaillé qu’un story-board parfois, bien que d’une efficacité redoutable. Et puis les gris. Une incroyable richesse de tons sort de son pinceau, gris pâles translucides, gris olivâtres, gris sombres plombés, gris bronze, bistre, ivoire, une palette morne et vaporeuse d’où émerge pourtant un lyrisme absolu. Les larges compositions quasi abstraites figurant les steppes désolées du Chubut - aux maigres silhouettes se devinant entre brumes tenaces et vastes ciels obscurcis - sont emblématiques du souffle poétique agitant cette œuvre. Le découpage est résolument dynamique, au gré des atmosphères retranscrites : gaufrier de neuf cases pour certaines séquences, ou de vingt cases sur une autre, succédant à des vues étalées en double pages, puis des planches en trois ou quatre strips, et ces images éclatées en myriades de pastilles juxtaposées.

Plus innovante encore, la - longue - dernière partie de l’album, véritable livre dans le livre, soixante-dix pages d’illustrations, esquisses, annotations, croquis sur le vif, recherches graphiques, pastels ou stylo-bille, mine ou aquarelle… une belle occasion pour l’artiste de déployer son talent dans cette sorte de making-of, racontant la genèse du projet et les enquêtes menées sur le terrain par Alejandro Aguado.

Comblant les promesses suscitées par son précédent opus, Jorge González démontre avec Chère Patagonie son statut d’auteur majeur de la bande dessinée contemporaine, par sa puissance graphique, par sa capacité à embrasser l’Histoire avec hardiesse, à manier tension dramatique et pauses contemplatives avec un égal bonheur.
Par O. Boussin