Pages

jeudi 31 mars 2022

Dr Justice (Magazine) #06 Plongée dans le temps (Sélection PIF Gadget) - Scans et retouches de Zapman (inédits)


Dr. Justice magazine n°6

Une BD de Jean Ollivier et Carlo Marcello chez Vaillant (Sélection Pif Gadget) 

   06/1974    56 pages    Format normal

Le récit Plongée dans le temps a été prépublié dans Pif Gadget #160 (13/03/1972).

Série terminée en 22 tomes (plus 3 recueils), publiés d'avril 1973 à septembre 1977

https://www.bedetheque.com/serie-10095-BD-Docteur-Justice-Magazine.html



BONUS: 

 Les autres numéros que nous propose Zapman proviennent de la toile
D'après le site Emulebdz, c'est Full-Throttle pour le 20 et Lulujojo du blog ami 
BDMagExhumator pour le 22.
Les contributeurs pour les 05 et 08 ne sont pas mentionnés.

https://mega.nz/folder/tJQVwTYA#1Y3SlBtcFJbhaAxeSvAVZQ


Nous apprécions grandement le travail de Zapman et ses contributions

Publié par Monsieur Augustin

mercredi 30 mars 2022

Le Morne-au-Diable d'Eugène Sue. Adaptation de Georges Benville - Compilation de Voltaire57



 On se souvient aujourd'hui d'Eugène Sue (1804-1857) comme de l'auteur des 
Mystères de Paris (1842-1842) et il est vrai que Fleur-de-Marie, le Maitre d'école, le Chourineur ou encore Rodolphe, grand-duc de Gérolstein, ont passionné des générations que ce soit au théâtre (1844), au cinéma (1943 et 1962) ou encore dans des adaptations télévisées (1961 et 1980).

On a oublié que l'auteur, fils bien né, dandy à ses heures, fut un ardent républicain qui mourut exil en Savoie alors possession italienne. On a aussi oublié qu'il fut Un auteur prolixe.

C'était la glorieuse époque du roman-feuilleton. Sous l'impulsion,
d'Emile de Girardin et d'Armand Dutacq la presse qui apprenaïit
 à devenir le quatrième pouvoir avait compris que la fidélisation 
de ses lecteurs passait aussi par les bonnes recettes de Shéhérazade,
à savoir une histoire quise suit au fil des jours, ou parfois aufil des nuits.

Balzac a ainsi publié beaucoup de ses romans d'abord dans la presse
 il ne fut bien sûr pas le seul.

Parmi les thèmes qu'affectionne plus particulièrement le public il y a
bien sûr le roman de cape et d'épée dont le fleuron qui donne le la au
genre est bien sur celui d'Alexandre Dumas avec ses Trois Mousquetaires (1844). Et de fait le XIXÈ"E siècle va enchainer les succès et les chefs d'œuvre du genre.

Du Bossu (1857 en feuilleton) de Paul Féval en passant par Le Capitaine Fracasse (1863) 
de Théophile Gautier jusqu'au Capitan (1907) de Miche Zévaco et sa série des 
Pardaillan (1905-1918) le public français se délecte de ces romans.



S'il faut bien reconnaitre la dette que le reman historique doit à Walter
Scott et plus particulièrement à son fanhoé (1819), il n'en reste pas
moins vrai que le roman d'aventures maritimes ou de pirates si vous
préférez est sans doute né à Paris sous la plume de James Fenimore Cooper, 
le papa du Dernier des Mohicans (1826). Son Corsaire Rouge (1827) est un tel succès 
aux Etats-Unis qu'une adaptation théâtrale est faite 44 jours
après sa publication à Philadelphie.



Sue a-t-il lu le livre ? 
Toujours est-il qu'il écrit Kernok le Pirate en 1830,
 aventures des plus sanguinolentes. Même si
le ton est plus mesuré il y a beaucoup de points communs
 entre Le Morne-au-Diable (1842) et ce pirate là. 
Dans le deux cas l'action commence en France, 
se poursuit dans les Caraïbes et se termine de
nouveau en France bien des années plus tard.

Mais ici il ne s'agit pas de pirates mais d'un roman
 d'aventures exotiques dont le cadre principal est la Martinique.

Nous sommes en 1690 et Monsieur de Croustillac
 a eu la mauvaise idée de se battre en duel. 
Depuis le 2 juin 1626 par un édit de Richelieu 
la chose est interdite et même passible 
de la peine de mort. 






D'ailleurs pour avoir fait fi de cette  loi François de Montmorency-Boutteville et François 
de Rosmadec des Chapelles sont décapités un an plus tard en place de Grève.


Or non seulement Croustillac s'est battu mais
 il a en plus tué net son adversaire. 
Le voilà qui file donc à bride abattue vers La Rochelle espérant  embarquer sur un navire
en partance vers les Caraïbes. 
Ce qu'il fait comme passager clandestin dans un premier temps puis en se faisant connaître du capitaine. 

Durant le trajet il apprend qu'un veuve de Martinique 
est fort riche, comme il est des plus désargenté, l'épouser serait une solution à ses maux d'argent. 
Mais voilà la veuve est surnommée La Barbe-Bleue 
car elle a déjà enterré trois maris.
 De plus elle est protégée par un boucanier, Arrache-
l'âme, un flibustier, L'Ouragan et un indien caraïbe.

Croustillac réussira-t-il dans son entreprise ?



Tel est l'argument du roman et partant de cette adaptation. On y
trouve les rebondissements propres au feuilleton, l'exotisme de paco-
tille, un poil de mélo et une fin morale. Plus que la BD le livre fait preuve
par endroit d'un humour de bon aloi comme cette scène où apparait
Croustillac pour la première fois devant le capitaine et ses convives :

« Le capitaine restait béant, regardant son nouvel hôte d'un air presque effrayé.
- Ah ça ! Qui êtes-vous ? Je ne vous connais pas. D'où diable sortez-vous donc, monsieur ?
 s'écria-t-il enfin.
- Si je sortais de chez le Diable, ce bon père … (et le Gascon baisa la main du père Griffon), 
ce bon père m'y renverrait
bien vite en me disant : Vade retro Satanas.
- Mais d'où venez-vous, monsieur ? s'écria le capitaine, stupéfait de l'air confiant et souriant 
de cet hôte inattendu; on
n'arrive pas ainsi à bord. Vous n'êtes pas sur mon rôle d'équipage... 
Vous n'êtes pas tombé du ciel peut-être ?
- Tout à l'heure c'était de l'enfer, maintenant c'est du ciel que je viens. Mordiou !»

Hergé qui, ne l'oublions pas, était le directeur artistique du Journal de Tintin avait des idées très arrêtées sur la tenue de SON journal. Raymond Leblanc qui était le propriétaire du journal en avait d'autres et c'est lui qui in fine a gagné. Mais en cette année 1950, le maitre à bord artistique est bel et bien Hergé. Il imprime son style à la revue.



C'est à lui qu'on doit la venue du talentueux Jean Trubert  (1909-1983) dans une adaptation du Quichotte de Cervantes en 1949.
Cette même année il a demandé à Georges Beuville (1902-1982) de rejoindre le journal. 

Celui-ci va offrir toute une série de gags puis en 1950 se lance dans l'adaptation du roman de Sue à qui il reste assez fidèle à ceci près qu'on ne résume pas un roman de près de 400 pages en 35 planches.

Comme pour le Quichotte de Trubert nous sommes en présence d'images avec un texte en dessous, procédé déjà vieillot à l'époque mais qui était censé montrer implicitement l'hommage fait à l'écrivain., pardon au littérateur!



Certains pourraient penser que Beuville a fait assaut de flagornerie
en appelant Licorne le vaisseau qui amène Croustillac aux Antilles.
Il n'en est rien. C'est bien le nom que l'on trouve dans le reman.

Il n'en reste pas moins que la coïncidence est plaisante.



De même, crochet mis à part Croustillac fait beaucoup penser au 
capitaine Crochet de Walt Disney. Mais là aussi il s'agit d'une coïncidence.

D'abord parce que Beuville est plutôt fidèle à la description qu'en fait Sue :

« M. de Croustillac était un homme de haute taille et d'une maigreur excessive: 
il paraissait âgé de 36 à 40 ans. Ses cheveux, sa moustache et ses sourcils étaient 
d'un noir de jais,  sa figure osseuse, brune et halée. 
Il avait un long nez, des petits yeux fauves d'une vivacité extraordinaire. »

Enfin Beuville ne pouvait avoir copié Disney puisque le film n'est sorti aux Etats-Unis 
qu'en février 1953 et pour Noël de la même année en France, 
soit bien après sa publication dans Tintin.

Est-il possible que ce soit l'inverse car le Crochet du dessin animé ne correspond pas vraiment 
à celui de J.M. Barrie ? La chose serait très étonnante mais allez savoir!

Un dernier mot sur « morne » qui signifie en fait colline, terme que l'on retrouve 
dans la plupart des îles qui furent au moins un temps des colonies françaises. 
À noter qu'il y a en effet des mornes en Martinique mais pas de Morne- au-diable
même si dans le roman il s'agit d'une plantation. 
En revanche, on trouve bien un Morne aux Diables en
Dominique mais vous remarquerez qu'il est diaboliquement pluriel
 et cache ne fait un volcan.

Je remercie enfin François qui, une fois encore, m'a sauvé la mise en me prodiguant
 la planche manquante.

Bon vent, la Licorne va bientôt lever l'ancre !





Remerciement à Voltaire57 pour ce magnifique album et pour la rapidité 
avec laquelle il a été réalisé.

Liens: .zip  -  .pdf    

Publié par Monsieur Augustin

mardi 29 mars 2022

L'oeil de Zoltec (Intégrale dans Antarès) 02 - Scan et Compilation de Christophe


 Série britannique appelée Tim Kelly ou Kelly's Eye écrite par Tom Tully 
et dessinée par Francisco Solano López
En France, la série fut publiée par Sagédition et,
partiellement, dans le petit format « Antarès » par Aventures & Voyages 
même si la série ne démarre qu’à la dix-septième
aventure du personnage.

 

Antarès

Num          Titres                                    Date

35    Lueur dans la nuit            08-1981
36    Les guerriers de Kaznar    09-1981
37    L'arbre à fourrure                    10-1981
38    L’œuf de vie                                    11-1981
39    Section spécimens            12-1981
40    Le tambour des Highlands          01-1982
41    Le ptérosaure kamikaze    02-1982
42    Le faiseur de pluie            03-1982
43    Kidnapping spatial            04-1982

Sources:





     Dominik VALLET - BD de Kiosque & Science-Fiction. P. 11






Merci beaucoup Christophe d'avoir terminé cette intéressante série et pour 
cet excellent travail numérisation et de retouche.


Publié par Monsieur Augustin

lundi 28 mars 2022

La Brigade des Marionnettes dans Atemi (Intégrale) 05 - Compilation de zapman


   La brigade des marionnettes était une bande dessinée
anglaise appelee "The house of Dolmann", parue dans la revue
“VALIANT" de 1966 a 1974 puis réédité dans "VULCAN" de 1975 a 1976.

C'est Tom TULLY qui signait les scénarios tandis que les
dessins étaient essentiellement d'Eric BRADBURY.



En France, chaque épisode regroupait le plus souvent quatre aventures distinctes sur 
une quarantaine de pages dans ATEMI du N°10 au N°36.

Malgré ses qualités indéniables, La brigade des marionnettes
n'a jamais eue I'honneur d'être en couverture d'ATEMI.
Dolmann a créée plusieurs robots qui ressemblaient a des
marionnettes pour lutter contre la pègre londonienne et a
garde son identité secrète du public.



Jonas Luthor exerce le métier de réparateur de jouets et de marionnettes. Il a aussi un secret. 
Dans sa vie secrète il est Dolmann, l’homme masqué dirigeant une troupe de marionnettes animées grâce à des moteurs et dépendant de sa volonté. Son équipe est constituée de Togo, Elasto, Métallo, Para, L’Eclaireur et la Taupe. Ensemble ils traquent les bandits de Londres. 

Séries concernées : - Atemi


INTÉGRALE  VOL. 5

22 L'habit ne fait pas le moine       11-1977

23        Le cheval de Troie       11-1977
24          Aspiro     12-1977


SOURCES:

http://www.pimpf.org/mjm/articles/brigade/brigade.html
https://www.forumpimpf.net/wikipimpf/index.php?title=La_Brigade_des_Marionnettes
http://www.comicbd.fr/Ep-Brigade-des-Marionnettes.html#B162
https://www.bedetheque.com/auteur-17103-BD-Tully-Tom.html
http://www.comicbd.fr/ScEp-Tully-Tom.html#liste-alpha
https://en.wikipedia.org/wiki/The_House_of_Dolmann
https://britishcomics.fandom.com/wiki/The_House_of_Dolmann
http://www.internationalhero.co.uk/d/dolmann.htm
https://britishcomicart.blogspot.com/2009/07/house-of-dolman.html?m=0
https://britishcomicscompilations.wordpress.com/2017/12/21/house-of-dolmann/
https://amp.en.google-info.org/9405390/1/the-house-of-dolmann.html
https://comicvine.gamespot.com/dolmann/4005-107090/
https://ottosump.tumblr.com/post/659878958662336512/the-house-of-dolmann-was-a-comic-strip-from
https://en.wikipedia.org/wiki/Tom_Tully_(writer)
https://books.google.fr/books/about/House_of_Dolmann.html?id=9Z2ZzgEACAAJ&redir_esc=y
BD de Kiosque et Science-Fiction. Dominik VALLET

Mille mercis pour cet excellent projet !!

Publié par Monsieur Augustin

dimanche 27 mars 2022

Le secret de Mahukitah dans Tintin - Albert Weinberg. Compilation de Voltaire57



 Le secret de Mahukitah est la première BD d'Albert Weinberg (1922-2011) pour Tintin. Jusqu'alors il n’avait fait qu'illustrer des contes où des nouvelles pour ce journal 
et il se passera pratiquement encore deux ans avant que Weinberg ne revienne à la BD,
 restant cantonné dans les seules illustrations.


Cette première histoire est bien de le style de la revue d'alors.
 À l'opposé de Spirou qui passe pour un magazine frivole,
Tintin a l’image d’un journal sérieux. Les collaborateurs de la revue de Marcinelle 
ont chacun leur style de dessin, parfois fort
éloigné, ceux de Tintin se rapprochent de celui qu’on n’appelle pas encore 
la fameuse ligne claire.


Tintin offre encore beaucoup de séries avec la vignette et le texte en dessous, 
Spirou beaucoup moins. Quasiment au même
moment la revue de Raymond Leblanc propose des adaptations de Cervantes, Eugène Sue, Salgari, Stevenson, etc. tandis que son concurrent se focalise sur les créations originales.

Bref en apparence, c’est le ciassicisme d’un côté et la fantaisie de l’autre. 
La rigueur correspond bien au caractère d’Hergé.
Dans les échanges épistolaires qu'il peut avoir avec ses collaborateurs ou avec Raymond Leblanc;
le patron qui l’a sorti du purgatoire à la Libération, on sent autant une exigence, 
souvent justifiée,qu'un manque de souplesse. 
Les deux combinés entraînent des jugements définitifs, parfois un peu expéditifs.

On se rappelle qu'Hergé ne voulait pas de Chick Bill dans son journal.
Leblanc la alors placé dans une revue dans laquelle le père de Tintin
n'avait aucun pouvoir et avec un succès suffisant pour que Chick Bill
revienne par la grande porte. Philippe Godin dans sa monumentale
Chronologie d’une Œuvre évoque au fil des pages ces différentes escar-
mouches entre l'artiste et l'éditeur, celui-ci tapant parfois du poing sur
la table, allant jusqu’à signifier que la direction artistique qui avait été
confiée à Hergé, donc le droit de vie ou de mort d’une série, se limitait
finalement aux seules aventures de Tintin.

Toujours est-il que les collaborateurs du journal se coulent dans le style
Tintin, sans qu'il y ait d’ailleurs d'imitation servile. Il est donc juste de
parler d’une opposition entre l’écoie de Marcinelle (Spirou) et celle de
Bruxelles (Tintin).

C’est le 16 mars 1950 au n°10 que commence cette aventure et c'est le
1 juin de la même année, au n°29, qu’elle se clôt, après d’ailleurs une
courte interruption. Comme il est alors de coutume dans Tintin les séries
sont délivrées au compte goutte, un planche par semaine, le plus souvent en bichromie. Celle histoire bénéficie de la couleur, preuve qu'on lui accordait un gage de qualité, mais en 17 planches il difficile de prétendre qu'li s’agit d’une bonne BD.

Il faut plutôt la voir comme une œuvre de fin d’études qui brasse le style
de l’air du temps. L'époque est aux films d'aventures, le plus souvent
exotiques. Qui plus est le retour de Tintin s’est fait avec Le Temple du
Soleil. Réminiscence inconsciente, hommage, flagornerie ? Toujours est-
il que cette histoire se déroule au Guatemala et qu’il sera question de
Mayas et de trésor.


Original ? Pas vraiment mais touchant certainement car comme tous les œuvres de
 jeunesse si elle n’est pas sans défaut , elle
laisse déjà percevoir ce que sera la pâte Weinberg quand il sera à son zénith.

NB: Tous les numéros et dates font référence à la chronologie de Tintin (Belgique)
À la différence de la version française dont la numérotation était continue, 
la belge reprenait au n°1 avec le premier journal de l’année en cours.





Remerciement à Voltaire57 pour un excellent travail de haute qualité.

Liens: .zip  -  .pdf    

Publié par Monsieur Augustin

samedi 26 mars 2022

André-Paul DUCHÂTEAU 02 - Edgar Wallace 02 / Mr Wens 02 - 04 / Rouletabille 01 - 05. Contribution de Daniel Coupeur

  Daniel Coupeur nous offre nouveaux albums qui ont le même scénariste 
comme élément commun André-Paul DUCHÂTEAU.
"Le tout est en édition numérique d'origine, c'est à dire sans retouches, 
avec un blanc immaculé et les couleurs d'origine. 
Un peu comme si on venait de les acheter neufs dans une librairie."



Edgar Wallace
2. L'archer vert

Une BD de André-Paul Duchâteau et Peter Li chez Claude Lefrancq Éditeur (CLE) (B.Détectives. - Le Masque présente) - 1995
  01/1995     46 pages    Format normal

Edgar Wallace, fabuleux raconteur, nous entraîne dans des péripéties mêlant 
exotisme, suspense et fantastique.
L'archer Vert est le plus célèbre roman de ce roi du thriller anglais ! 

(Dans les Largo Winch 3 et 4, Jean Van Hamme lui rend hommage en utilisant
 le personnage de L'archer vert pour commettre des meurtres) 



Mr Wens

Genre :Polar, Thriller
Parution :Série finie
Tomes :4

Scénario : André-Paul Duchâteau
Dessin : Desmit (Didier, Xavier Musquera
Couleurs : Desmit (Didier), Liliane Denayer
Lettrage : Yves Urbain
Adapté de : S.A. Steeman, 

Editeur :Claude Lefrancq Éditeur (CLE)

  LES 4 ALBUMS DE LA SÉRIE

1. Six hommes morts   02/1989
2. L'ennemi sans visage   10/1990
3. L'assassin habite au 21   11/1992
4. Des cierges au diable   11/1994

Le personnage de Mr Wens a été créé par un auteur majeur 
(et trop méconnu par le grand public) du roman policier francophone : 
le liégeois (comme Simenon) Stanislas-André Steeman.

Wenceslas Vorobeîtchik dit Monsieur Wens est un enquêteur élégant, intelligent et spirituel.
 Il a été le personnage principal de nombreux romans (Six hommes morts, La nuit du 12 au 13, L'assassin habite au 21, L'ennemi sans visage, Crimes à vendre...).
 Les intrigues sont astucieuses et remarquablement exposées.

Il est donc logique qu'A-P Duchâteau ait adapté pour la BD certains de ces romans 
chez Lefrancq dans la collection BDétective.
Le dessin est assuré dans l'esprit de la ligne claire par André Musquera, puis par 
Didier Desmit pour le dernier tome.





Rouletabille 

Genre :Polar
Parution :Série en cours
Tomes :5

Scénario : Duchâteau, André-Paul
Dessin : Swysen, Bernard
Couleurs : Schmitz, Cécile
Editeur :Soleil Productions
Collection :Collection Détectives BD
  
LES 5 ALBUMS DE LA SÉRIE

1. Le mystère de la chambre jaune   01/2001
2. Le fantôme de l'opéra   02/2001
3. Le trésor du fantôme de l'opéra   04/2001
4. La poupée sanglante   05/2001
5. La machine à assassiner    06/2001

Une adaptation fidèle du célèbre roman écrit par Gaston Leroux dans lequel le jeune reporter, Joseph Rouletabille, mène sa première enquête.
Le professeur Stangerson et sa fille Mathilde vivent au château du Glandier où ils poursuivent des recherches scientifiques. Une nuit, Mathilde échappe de justesse à une tentative d'assassinat dans sa chambre jaune, pourtant fermée de l'intérieur.
Rouletabille et son ami Sainclair se rendent sur les lieux, ils vont, au terme d'une enquête périlleuse, élucider « Le mystère de la chambre jaune ».




Nous remercions Daniel Coupeur pour cette nouvelle contribution,
avec une excellente qualité d'images.
Un plaisir à lire !!

Publié par Monsieur Augustin