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samedi 4 avril 2020

Œuvres de Juan Gimenez 03


Juan Antonio Giménez López 
était né en Argentine le 16 novembre 1943 à Mendoza, il avait fait ses débuts en 
Argentine avant de faire carrière en Espagne. 
Il avait été notamment le dessinateur de La Caste des Méta-Barons, une BD scénarisée par Jodorowsky. Dessinateur puissant, maître du fantastique et de la science-fiction, 
il est mort dans sa ville natale en Argentine où il était revenu après avoir contracté 
le coronavirus à Sitgès en Espagne, 
où il résidait depuis de nombreuses années. Il avait 76 ans.
Repose en paix.


1943 : Naissance le 26 novembre de Juan Giménez à Mendoza, en Argentine.
Après avoir suivi des cours de mécanique de précision et de dessinateur industriel dans son pays, puis de dessin tout court à l'Académie des Beaux-Arts de Barcelone, il se dirige d'un pas enfin décidé vers la bande dessinée : dès seize ans, Gimenez publiait ses histoires dans la presse de son pays mais, récession économique oblige, avait un temps changé son pinceau d'épaule. De retour chez lui, il entame alors une collaboration suivie avec les deux plus importants éditeurs argentins: Colomba et Record.
1970 : Gimenez revient, pour s'y installer cette fois, sur la Costa Brava espagnole.
1979 : Après l'Italie (dans Lancio Story et Skorpio) et l'Espagne (dans le magazine 1984), la France. Glénat publie son premier album en français, sur un scénario de Barreiro, L'Étoile noire. Suivront (chez Glénat, Dargaud, Bagheera et Albin Michel, histoire de voir du pays éditorial) La Véritable Histoire de Léo Roa, Mutante, Le Quatrième Pouvoir, 
Le Regard de l'Apocalypse et Titania. 


1981 : Il participe aux côtés d'Harry Canon à un épisode de Métal Hurlant, le film. Juan Gimenez est plébiscité par les lecteurs de 1984 et Comix (une autre revue espagnole) qui, par sondage, en font le meilleur dessinateur en 1983, 84, 85 et 90.
1990 : Il reçoit le Gaudi du meilleur dessinateur à la Feria Internacional del Comics de Barcelone.
1992 : Juan Gimenez rencontre Alexandro Jodorowsky, dont il admire le travail, avec Moebius notamment, depuis des années. Pour lui, Gimenez pose ses valises : avec la Caste des Méta-Barons, il s'engage pour la première fois dans une série au long cours, en collaboration avec un scénariste, le tout chez un seul éditeur. Gimenez demeure un illustrateur très demandé. On peut voir son travail sur des couvertures de roman, des pochettes de disque, et même dans des jeux vidéo dont il a réalisé la conception graphique. Il sera sans doute plus difficile de découvrir les story-boards qu'il dessine régulièrement pour le cinéma.
1994 : Parution d'un ouvrage d'illustration de Gimenez, Arkhanes, publié chez La sirène.
1999 : Parution d'un ouvrage des illustrations de Gimenez, Overload, publié chez Soleil.
1992-2000 : À partir de 1992, il reprend le personnage du Méta-baron de la série l'Incal créé par Alexandro Jodorowsky et dessiné par Moebius. La Caste des Méta-Barons raconte l'histoires des ancêtres du Méta-baron. Chaque épisode correspond à un aïeul. Sept épisodes ont vu le jour et un hors série, La maison des ancêtres.
2001 : Parution chez La sirène de L'univers de Gimenez , même contenu que Arkhanes, seule la couverture change.
2004 : Premier album intitulé Le quatrième pouvoir,supramental, histoire de trois jeunes femmes, qui voient toutes débarquer des hommes en scaphandre qui s'emparent d'elles et font disparaître les éventuels témoins de la scène.
2004 : Second album de la série Le quatrième pouvoir, meurtre sur Antiplana. Des scientifiques décident de créer une créature douée de pouvoirs infinis en réunissant quatre cerveaux de femmes. Ils nomment cette arme suprême QB4.
2005 : Scénarisé par Dal Pra', Le regard de l'apocalypse paraît chez Soleil après avoir été édité chez Bagheera en 1991 et nous plonge dans un univers aussi troublant que fantastique. Tout commence en 1972, au milieu de la jungle vietnamienne, quand deux GI assistent à la mystérieuse explosion de deux hélicoptères, déclenchée par la seule force mentale d'un petit garçon.
2006 : Parution du troisième album Le quatrième pouvoir, enfert vert ainsi que la réédition de l'intégrale de Léo roa.
2008 : Mars, sortie de L'Île D-7, où Gimenez reprend l'univers du Quatrième Pouvoir dans cette histoire en un seul volume.
Juan Giménez est décédé des complications liées au coronavirus COVID-19 dans 
son pays natal de Mendoza.


Texte et photo: Humanoïdes Associés










En hommage à ce grand artiste admiré de tous, argentin et universel.
  Nous vous proposons la troisième livraison de ses oeuvres.

Œuvres de Juan Gimenez 03  
















La Caste des Méta-Barons

Scénario : Jodorowsky, Alejandro
Dessin : Gimenez, Juan
Couleurs : Gimenez, Juan

Genre :Science-fiction
Parution :Série finie
Tomes :8 +2HS

Toute l'histoire de la lignée des Méta-Barons est retracée, volume par volume. Les Méta-Barons sont les plus grands guerriers de l'univers, et se transmettent leur savoir de père en fils.
La famille de l'épouse d'Othon, le premier Méta-Baron, vivait paisiblement sur la planète Marmola, sphère de marbre quand des marchands impériaux sont venus passer commande de marbre.
La Caste avait peu de moyens techniques, mais un fabuleux secret : la planète renfermait une huile capable de déplacer des tonnes de pierre.
Suite à un malheureux accident, Othon se retrouve coincé sous un bloc de marbre, obligeant la Caste à dévoiler leur secret aux étrangers pour lui sauver la vie.
La nouvelle de l'huile et de ses merveilleux pouvoirs se répand très vite et tout le monde décide d'envahir la planète Marmola, les uns plus forts que les autres.
Enfin, 1500 guerriers de l'Endogarde Noire se trouvent face aux 150 guerriers de Marmola et leur demandent de se rendre. Pour la femme d'Othon, Edna, il en est hors de question. Elle préfère mourir en guerrière plutôt que de soumettre.
Othon casse les jambes de son fils pour qu'il ne fasse pas la même erreur que sa mère et l'immobilise ainsi. Mais par sa ruse et son courage, Othon aidé de deux lieutenants réussit à vaincre les 1500 guerriers constituant la garde privée de l'empereur et de l'impératrice. La victoire est éclatante, mais seulement temporaire. Un compromis est nécessaire.
Après négociation avec le couple impérial, Othon obtint un pourcentage sur les ventes de l'épiphite, une nouvelle planète et un cheval pour son fils. L’histoire des Méta-Barons ne fait que commencer.


LES 10 ALBUMS DE LA SÉRIE:

1. Othon le trisaïeul  11/1992
2. Honorata la trisaïeule  11/1993
3. Aghnar le bisaïeul  08/1995
4. Oda la bisaïeule  04/1997
5. Tête-d'Acier l'aïeul  10/1998
6. Doña Vicenta Gabriela de Rokha l'Aïeule  09/1999
7. Aghora le Père-mère  01/2002
8. Sans-Nom le dernier Méta-Baron  12/2003

HS1. La Maison des Ancêtres  06/2000
HS2. L'univers   01/2001


























Le quatrième pouvoir
Scénario :Gimenez, Juan
Dessin :Gimenez, Juan
Couleurs :Gimenez, Juan

Genre :Science-fiction
Parution :Série en cours
Tomes :4

Guerre des mondes, projets scientifiques fous, luttes de pouvoir, belles héroïnes sexy et dangereuses… La virtuosité graphique de Gimenez nous entraîne dans l'univers foisonnant de cette saga dont il est le créateur.

L'odyssée d'Exether Mega, une jeune pilote de vaisseau militaire engagée lors de la guerre enragée entre les Humains et les Krommiums. Gagner la guerre n'est qu'un prétexte, Exether est en fait la victime d'une expérimentation scientifique visant à créer l'arme absolue. En réunissant quatre cerveaux, les scientifiques vont fabriquer une créature douée de pouvoirs cosmiques infinis, une créature suprême née de la fusion de quatre femmes qui échappera à tout contrôle…


 LES 4 ALBUMS DE LA SÉRIE

1. Le quatrième pouvoir   05/1989
2. Meurtres sur Antiplona   11/2004
3. Enfer Vert   06/2006
4. L'ile D-7   03/2008




Segments
Scénario :Malka, Richard
Dessin :Gimenez, Juan
Couleurs :Gimenez, Juan

Parution :Série finie
Tomes :4

Un magistral space opera philosophique, par deux éminents talents de la bande dessinée XXVIIIe siècle de l'ère galactique. Les humains sont regroupés par types de personnalités sur des planètes monocolores vouées à des fonctions uniques : la spiritualité, l'échange, la jouissance, la guerre, le travail, l'ordre et la créativité. Cette organisation sociale fondée sur les antiques théories du psychiatre Carl Gustav Jung a permis l'éradication des conflits humains par le regroupement des personnes partageant les mêmes valeurs.Mais dans cet univers si parfait, les mystérieux guides immortels des Segments s'inquiètent : une incompréhensible épidémie de stérilité progresse et il ne reste que peu de temps pour y trouver un remède avant que l'humanité ne soit condamnée à la disparition.
Dans une salle d'audience, l'indolent Loth Lungren et la sensuelle Jezréel se croisent pour être jugés.
L'une pour avoir refusé de s'adonner au sexe débridé et à la drogue, bien qu'affectée au monde de la jouissance, l'autre pour ne pas avoir rejoint sa garnison.
Lourdement condamnés à l'issue d'un procès kafkaïen, ils tenteront d'échapper à cette galaxie névrotique...Gimenez, le dessinateur mythique de La Caste des Méta-Barons reprend ses pinceaux virtuoses et s'associe à l'un des scénaristes les plus talentueux de sa génération, Richard Malka, qui choisit cette fois le prisme de la science fiction pour réfléchir à la condition humaine. Une oeuvre à la dimension philosophique, symbolique et
esthétique commence.

 LES 4 ALBUMS DE LA SÉRIE

1. Lexipolis11/2011
2. Voluptide11/2012
3. Neo Sparte02/2014



https://www.bedetheque.com/auteur-639-BD-Gimenez-Juan.html


mercredi 19 février 2020

Œuvres de Juan Gimenez 02


1943 : Naissance le 26 novembre de Juan Giménez à Mendoza, en Argentine.
Après avoir suivi des cours de mécanique de précision et de dessinateur industriel dans son pays, puis de dessin tout court à l'Académie des Beaux-Arts de Barcelone, il se dirige d'un pas enfin décidé vers la bande dessinée : dès seize ans, Gimenez publiait ses histoires dans la presse de son pays mais, récession économique oblige, avait un temps changé son pinceau d'épaule. De retour chez lui, il entame alors une collaboration suivie avec les deux plus importants éditeurs argentins: Colomba et Record.
1970 : Gimenez revient, pour s'y installer cette fois, sur la Costa Brava espagnole.
1979 : Après l'Italie (dans Lancio Story et Skorpio) et l'Espagne (dans le magazine 1984), la France. Glénat publie son premier album en français, sur un scénario de Barreiro, L'Étoile noire. Suivront (chez Glénat, Dargaud, Bagheera et Albin Michel, histoire de voir du pays éditorial) La Véritable Histoire de Léo Roa, Mutante, Le Quatrième Pouvoir, Le Regard de l'Apocalypse et Titania... Plus d'infos »


[Source: http://www.bedetheque.com]


Le regard de l'apocalypse
Une BD de Roberto Dal Pra' et Juan Gimenez  chez Bagheera - 1991
   09/1991  56 pages   Grand format 

1972, Cœur de la jungle vietnamienne. Un village Viêt-cong est sur le point d'être rasé par les marines. Au cours de l'attaque, deux hélicoptères semblent avoir été détruits par la seule force mentale d'un petit garçon. Stress du combat, hallucinations ? 1989, L.A., une série de meurtres étranges décime la tête de la maffia chinoise. Curry, un des G.I. présents en 1972, y voit resurgir la marque du jeune garçon. Son enquête va le mener au contact d'une non moins étrange secte...

On peut s'interroger sur l'opportunité de la réédition d'un album paru chez Bagheera il y a 15 ans de cela. Certes, il y a le dessin de Juan Gimenez, surtout connu pour sa collaboration avec Alejandro Jodorowski sur La Caste des Métabarons, qui trouvera certainement son public. Bien qu'il ne soit pas ici encore au sommet de son art, la technique est déjà là, notamment son talent pour l'utilisation de la couleur. Comme souvent lors de rééditions, le fait d'avoir un recul important sur l'œuvre d'un artiste permet une lecture où l'on guettera les prémices de ses œuvres suivantes.

L'histoire qui nous est contée ici valait-elle donc elle aussi cette réédition ? Le "pitch", s'il était original il y a quinze ans, sonne désormais comme un air trop connu. L'enquête de Curry n'a ni véritable souffle ni véritable suspens, histoire dont le personnage principal n'est que le spectateur de ses propres péripéties. De plus le fond mystérieux et fantastique est largement sous-employé, ne servant de prétexte qu'au talent graphique de Gimenez. Bref un album dont l'intérêt n'est pas flagrant, surtout en sortant lors de la "rentrée" de l'ensemble de l'édition BD.

Les fans de Gimenez y trouveront peut-être leur compte, quant aux autres, la pléthore de titres disponibles en cette période leur fera probablement passer leur chemin. Restera la couverture qui est, bien qu'un tantinet gore, de loin meilleure que celle de l'album original.

Par N.Diremdjian /Bdgest.com/



Léo Roa

Une BD de Juan Gimenez  chez Dargaud
 60 pages     Format normal 

LES 2 ALBUMS DE LA SÉRIE

1. La véritable histoire de Léo Roa   01/1988
2. L'Odyssée à contretemps   01/1991


Prenez un journaliste du futur, LÉO ROA, jetez-le dans l'espace au milieu de tas de ferrailles (superbes vaisseaux au design propre à Gimenez), de bestioles improbables (dignes des créatures les plus infectes des Méta-Barons), de méchants très méchants et de charmantes créatures dont les rondeurs seraient lunaires si la lune existait toujours dans ce lointain avenir. 
Le tout est enrobé de virtuosité graphique, d'élégance et de ce sens du rythme 
qui n'appartiennent qu'à Juan Gimenez. 
Une des rares aventures de science-fiction où l'avenir s'écrit en riant...






Moi, Dragon
INT. La saga
Une BD de Juan Gimenez  chez Glénat (Grafica) - 2015
   01/2015 (21 janvier 2015)    172 pages    Grand format 


Juan Gimenez est avant tout un dessinateur. Voici peu ou prou ce qui ressort de la lecture de ce triptyque publié en un seul gros volume par Glénat. Ayons une pensée compatissante pour ceux qui avaient acheté le premier tome, édité par Le Lombard et laissé sans suite, puis entrons dans le vif du sujet. Autant ne pas y aller par quatre chemins : le scénario, sans originalité, est un simple prétexte à une succession de tableaux, de scènes pleines de fureur censées mettre en valeur le trait si particulier de l’auteur de La caste des Méta-Barons.

Le résultat est-il à la hauteur ? Si on s’en tient au seul aspect visuel, sûrement. Bien qu'un côté parfois un peu statique et un manque de précision dans les visages pourraient éventuellement être pointés du doigt, le rendu final remplit son rôle : en mettre plein la vue. L’éditeur ne s’y est pas trompé en adjoignant à cette volumineuse édition un magnifique poster dépliable, tandis que les pages de garde de chaque volet de la saga s’ornent de superbes illustrations. Les amateurs seront probablement conquis. En creusant, force est pourtant de constater que ce récit épique ne sort pratiquement pas des sentiers battus de l’Heroic Fantasy. Pire, la narration s’avère brouillonne, les dialogues peu élégants, le suspense inexistant et le rythme pour le moins chaotique. Ajoutez-y le manque de charisme des personnages et vous obtiendrez une histoire sans relief, sans inspiration et, au final, laborieuse.

Beau mais sans fond, Moi, Dragon est à réserver aux inconditionnels de Juan Gimenez.

Par D. Wesel  /Bdgest.com/



 Arkhanes - J. Gimenez 

37 pages




Juan Gimenez - Artbook - Overload

37 pages


jeudi 29 juin 2017

Œuvres de Juan Gimenez 01


1943 : Naissance le 26 novembre de Juan Giménez à Mendoza, en Argentine.
Après avoir suivi des cours de mécanique de précision et de dessinateur industriel dans son pays, puis de dessin tout court à l'Académie des Beaux-Arts de Barcelone, il se dirige d'un pas enfin décidé vers la bande dessinée : dès seize ans, Gimenez publiait ses histoires dans la presse de son pays mais, récession économique oblige, avait un temps changé son pinceau d'épaule. De retour chez lui, il entame alors une collaboration suivie avec les deux plus importants éditeurs argentins: Colomba et Record.
1970 : Gimenez revient, pour s'y installer cette fois, sur la Costa Brava espagnole.
1979 : Après l'Italie (dans Lancio Story et Skorpio) et l'Espagne (dans le magazine 1984), la France. Glénat publie son premier album en français, sur un scénario de Barreiro, L'Étoile noire. Suivront (chez Glénat, Dargaud, Bagheera et Albin Michel, histoire de voir du pays éditorial) La Véritable Histoire de Léo Roa, Mutante, Le Quatrième Pouvoir, Le Regard de l'Apocalypse et Titania... Plus d'infos »

[Source: http://www.bedetheque.com]


Gangrène
Une BD de Carlos Trillo et Juan Gimenez  chez Comics USA (Comics USA) 
  09/1987  60 pages   Format normal

Le monde est désolé, complètement détruit par une apocalypse ayant ravagé la partie la plus claire de la planète. Pour que survive l'espèce humaine, les grand pontes ont décidé de sacrifier une grande partie de notre bonne vieille Terre... Dehors, certains êtres humains vivent dans ce qui ressemble plus à une immense décharge qu'autre chose. Privés de tout, ils risquent leur vie en rendant près de la cité blanche afin de récupérer tout ce qui en sort, nourriture comme déchets radioactifs... 


Le temps est venu de se révolter !!! Un être s'est justement fait exclure de la cité blanche pour faute grave, et la meilleure façon pour lui de réintégrer ce paradis terrestre est de soulever une armée, composée des nantis de l'espèce humaine !! 
Mais tout ne sera pas si facile...
http://www.bdgest.com/


L'étoile noire
Une BD de Ricardo Barreiro et Juan Gimenez  chez Glénat - 1981
  12/1981  48 pages  Format normal

L’histoire n’est pas extraordinaire selon moi et la fin, c’est du emballé c’est pesé. Mais néanmoins, j’ai pris du plaisir à la lire cette bédé. Les dessins sont tellement d’un bon niveau et j’aime tellement la science fiction que j’ai visualisé ça comme un vieil épisode de Star trek ou d’un Cosmos 1999 ou peut-être plus un Ulysse 31.



 Enfin bref, si vous aimez la SF et plus particulièrement les dessins de Juan Gimenez, 
ça peut-être vous plaire. 
Par Davoustmassena


Titania
Une BD de Juan Gimenez  chez Albin Michel (Spécial USA) - 1987
  02/1987  48 pages    Format normal 

 On comprend où l’auteur veut nous emmener mais qu’est ce que c’est tortueux. Il y a des scènes où je n’ai pas compris leur intérêt, tellement que c’était brouillon. En gros, le thème, c’est les causes à effets des voyages dans le temps. 



Ce qui est vraiment digne d’intérêt, ce sont les dessins qui sont sublimes. Par contre, pour le scénario, la mise en scène, j’ai vu beaucoup mieux. ça se lit, sans plus. Je suis content de l’avoir, étant fan des dessins de Gimenez et de la SF, cette bédé est un régal pour les yeux. 
Elle est indispensable pour les fans.
Par Davoustmassena - https://www.bedetheque.com/


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