Nous continuons heureusement la grande collaboration bilingue avec Urijenny de l'Argentine
La historia de Renart
Historieta en B&N de Max Cabanes y Jean-Claude Forest recopilada de su publicación serializada en los magazines Totem N° 46, 47, 48, 49, 50, 51, y 52.
En sintonía con la preparación reciente de la edición digital en castellano de "Barbarella", por parte de Luzroja y avelinogutierrez, va este libro de historietas en el que Forest realiza el guión, discreto, de la adaptación al cómic de la magna obra de la literatura francesa "Le román de Renart". Lo fuerte del libro, sin embargo, es la adaptación gráfica magistral que realiza Cabanes de este clásico de la literatura medieval.
En la historieta se pueden encontrar una serie de breves aventuras picarescas de Renart el zorro, humanizado y con disfraz, en un entorno de campiña medieval.
Previo al inicio de la historieta van unas páginas introductorias a esta gran obra de la picaresca universal, incluidas en la publicación original en la revista Totem, en las que se da un marco referencial de la obra para que los lectores actuales puedan interpretar la versión historieta de este clásico literario.
En esta edición digital el libro de historietas va con las portadas, contraportada, y página de títulos adaptadas de las ediciones francesas (se incluyen dos juegos de portada/contraportada de distintas ediciones francesas). También al comparar las páginas de la edición original francesa, con las de la edición recopilada de los magazines Totem, se encontró que faltaba una página, posiblemente censurada u omitida por razones de espacio en el magazine correspondiente, lo que era bastante habitual en la época.
Al contar con la edicón original se pudo traducir la página faltante y preparar esta edición digital completa. La traducción de la página faltante, en argot en el original francés, fue realizada por avelinogutierrez. Las historias van ordenadas según el orden en la versión original francesa, no en el orden de publicación de los episodios en el magazine Totem.
Al contar con la edicón original se pudo traducir la página faltante y preparar esta edición digital completa. La traducción de la página faltante, en argot en el original francés, fue realizada por avelinogutierrez. Las historias van ordenadas según el orden en la versión original francesa, no en el orden de publicación de los episodios en el magazine Totem.
[Edición de Urijenny]
Le Roman de Renart
Une BD de Jean-Claude Forest et Max Cabanes chez Futuropolis (30/40) - 1985
Max Cabanes
Avant de faire ses débuts dans l'univers de la bande dessinée, Max Cabanes a exercé ses talents de dessinateur dans différents registres tels que le portrait, la caricature ou encore le dessin humoristique. Son premier projet de bande dessinée, Démons et merveilles, élaboré en Angleterre en 1971 est publié dans Pilote. Il signe également à cette époque différents dessins dans Paris Match et Record. C'est sa participation dans un petit journal, Tousse-Bourin, appelé à disparaître, qui l'amène à concrétiser son dessin. Cabanes se dévoile dans son oeuvre comme un excellent narrateur et créateur d'histoires où rêve, humour ou angoisse contribuent à créer
un univers ambigu.
De la série "Dans les villages" (Les Humanoïdes Associés) au Roman de Renard (Futuropolis) en passant par les Contes fripons, il se révèle l'un des grands auteurs français, au dessin pur et direct, à l'inspiration toujours tendre. La simplicité et la force de son dessin éclatent dans l'album paru chez Casterman en avril 1989 intitulé Colin Maillard. Avec ce titre, Cabanes marche dans les pas de son enfance. Une promenade ponctuée par des figures féminines.
Une confession de ses premiers émois.
un univers ambigu.
De la série "Dans les villages" (Les Humanoïdes Associés) au Roman de Renard (Futuropolis) en passant par les Contes fripons, il se révèle l'un des grands auteurs français, au dessin pur et direct, à l'inspiration toujours tendre. La simplicité et la force de son dessin éclatent dans l'album paru chez Casterman en avril 1989 intitulé Colin Maillard. Avec ce titre, Cabanes marche dans les pas de son enfance. Une promenade ponctuée par des figures féminines.
Une confession de ses premiers émois.
Jean-Claude Forest
1930 : Naissance de Jean-Claude Forest le 11 septembre au Perreux sur Seine.
1949 : Pour son premier essai, Forest puise aux meilleures sources : alors qu'il fréquente encore l'école des Métiers d'Art, il adapte La Flèche Noire de Stevenson. Jusqu'au début des années 60, il se fait alors la main dans des journaux (Vaillant) et chez des éditeurs (Offenstadt) pour la jeunesse. C'est toutefois dans l'illustration de science-fiction qu'il trouve cette liberté qui lui manque tant dans la bande dessinée, pour la revue Fiction comme pour Le Livre de Poche ou les collections du Rayon Fantastique, chez Hachette.
1962 : Pour V Magazine, il imagine les premières aventures de Barbarella. Une révolution sexuelle. Publiée en album par l'éditeur des surréalistes, Jacques Losfeld, Barbarella est rapidement censurée, interdite à l'affichage, à la publicité et à la vente aux mineurs. Qui, les pauvres, ne savent pas ce qu'ils perdent.
1964 : Sous le pseudo de Jacques Valherbe, Forest écrit pour Paul Gillon les premières pages des Naufragés du Temps, une ambitieuse série de science-fiction. Dans le même temps, il partage avec Rémo Forlani la rédaction en chef du magazine Chouchou, qui accueille, entre autres, son Bébé Cyanure. Forest fait aussi de la télé et met en scène pour l'émission Dim Dam Dom une comédie musicale composée par Serge Gainsbourg, Marie Mathématique. Miam.
1968 : Roger Vadim fait ce qu'il peut. C'est peu. Et forcément, son adaptation au cinéma de Barbarella est un nanard. Dommage, Jane Fonda en scaphandre déchiré promettait beaucoup et Forest a lui-même dessiné les décors.
1971 : Sortie en album de Mystérieuse matin, midi et soir, une série commencée et rapidement interrompue dans Pif. Les très orthodoxes patrons du journal reprochaient à Forest son imagination trop débridée. France Soir n'a pas ces délicatesses et publie sans broncher les premiers strips d'Hypocrite.
1974 : La télévision encore : Forest réalise une dramatique pour l'ORTF, Les Poules bleues.
1978 : Générique somptueux pour le balbutiant (A Suivre) : Forest écrit à Tardi le scénario d'Ici Même et à Cabanes une libre adaptation du Roman de Renart.
1979 : Pour beaucoup, Forest vient de dessiner son chef-d'oeuvre : La Jonque fantôme vue de l'orchestre.
De 1984 à 1988 : Forest s'occupe de BD à Okapi. Il y invente pour Savard un détective chasseur de spectre, Léonid Beaudragon.
1984 : Forest reçoit le Grand Prix de la Ville d'Angoulême, remis par ses pairs - et amis, pour l'essentiel - pour l'ensemble de son oeuvre.
1996 : Alain Bignon dessine la centaine de pages d'Il faut y voir pour le croire (les Aventures de Narcisse Mulot).
1998 : Jean-Claude Forest ne verra pas l'an 2000. Il meurt à la veille de 1999.
[Biographies de http://www.bedetheque.com]
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