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dimanche 21 mars 2021

Jean de Florette . Deuxième partie . Eric Stoffel, Serge Scotto et Alex Tefenkgi (Série en cours)

 


Genre : Adaptation d'œuvre littéraire
Scénario: Eric Stoffel
Scénario: Serge Scotto
Dessin: Alex Tefenkgi
Editeur : Bamboo Édition
Collection : Grand Angle

Pour permettre à son neveu de s’installer, « le Papet » lorgne sur le terrain de son voisin.
 Il y existe une source : un vrai trésor dans la chaude Provence. À la surprise de tout le village, à la mort de Piquebouffigue, c’est un neveu bossu,
 Jean de Florette, qui hérite du terrain. Il s’y installe avec sa femme et sa fille Manon et se lance dans l’élevage des lapins. Mais l’eau manque cruellement et malgré ses savants calculs et son courage, il s’épuise à la tâche… Pourtant, de l’eau, il y en a. Mais pour inciter le citadin à partir, « le Papet » et son neveu Ugolin ont bouché la source..

Jean de Florette

2. Deuxième partie

Une BD de Serge Scotto et Christelle Galland  chez Bamboo Édition (Grand Angle) 

  06/2019 (12 juin 2019)  64 pages   Grand format




mardi 19 janvier 2021

Une nuit à Rome - Tome 03 - 04. JIM (Série finie)

 Genre : Roman graphique
Parution : Série finie
Tomes : 4 + HS


3. Livre 3
Une BD de Jim  chez Bamboo Édition (Grand Angle) - 2018
   04/2018 (11 avril 2018)  94 pages    Format normal 

Dix ans ont passé depuis la première nuit à Rome et cette promesse que Marie et Raphaël s'étaient faite de passer la nuit de leurs quarante ans tous les deux... Puis les amants sont retournés à leurs existences d'avant. Quand Marie reçoit une invitation pour aller fêter les cinquante ans de Raphaël à Rome, elle ne sait pas encore si elle va accepter. L'invitation de Raphaël restera-t-elle lettre morte ? Et puis, après tant d'années, n'y a-t-il pas tout à perdre à essayer de revivre cette nuit exceptionnelle ?



4. Livre 4
Une BD de Jim  chez Bamboo Édition (Grand Angle) - 2020
   05/2020 (10 juin 2020)  110 pages   Format normal 

« Tu crois qu'à 50 ans on vivra encore des choses fortes ? ».
Dix ans ont passé depuis la première nuit à Rome et cette promesse que Marie et Raphaël 
s'étaient faite de passer la nuit de leurs quarante ans tous les deux... 
Puis les amants sont retournés à leur existence d'avant.
Quand Marie reçoit une invitation pour aller fêter les cinquante ans de Raphaël à Rome, 
elle ne sait pas encore si elle va accepter. L'invitation de Raphaël restera-t-elle lettre morte ?
 Et puis, après tant d'années, n'y a-t-il pas tout à perdre à essayer de revivre cette nuit exceptionnelle ?

LES 5 ALBUMS DE LA SÉRIE

1. Livre 105/2012
2. Livre 212/2013
3. Livre 304/2018
4. Livre 405/2020
HS. Les dessous de Une nuit à Rome - Illustrations et entretien avec Jim 11/2014

Lien vers toute la série  ICI

Publié par Monsieur Augustin

mardi 28 janvier 2020

Les fondus de la pêche - Christophe Cazenove et Pierre Seron



Les fondus de la pêche

Une BD de Christophe Cazenove et Pierre Seron  chez Bamboo Édition - 2019
 59 pages    Format normal 

Ce BD appartient à la série d'humour  Les Fondus, 17 albums, et dessiné par 
différents auteurs comme: 
Cazenove, Christophe
  Richez, Hervé
Widenlocher, Roger
Seron, Pierre

Collection publiée entre 2007 et 2019

Scan de Taz6744 Environ 1200 px


Publié par 
Monsieur Augustin

mardi 15 octobre 2019

Jamais - Bruno Duhamel / Annie Sullivan & Hellen Keller - Joseph Lambert.



Jamais
Une BD de Bruno Duhamel  chez Bamboo Édition (Grand Angle) - 2018
   01/2018    54 pages     Grand format 

Troumesnil, Côte d’Albâtre, Normandie. La falaise, grignotée par la mer et le vent, 
recule inexorablement de plus d’un mètre chaque année, emportant avec 
elle les habitations côtières.
 Le maire du village parvient pourtant, tant bien que mal, à en protéger les habitants 
les plus menacés. Tous sauf une, qui résiste encore et toujours à l’autorité municipale. 
Madeleine, 95 ans, refuse de voir le danger. 
Et pour cause. Madeleine est aveugle de naissance.




➣➣⇥⇥⇥


Annie Sullivan & Helen Keller
Une BD de Joseph Lambert  chez çà et là / Cambourakis - 2013
  10/2013     86 pages      Format normal 

Eisner Award 2013. 
Née en 1880 dans l’Alabama, la petite Helen Keller devient aveugle et sourde à l’âge de dix-neuf mois, probablement des suites d’une méningite. Elle devient alors incapable de communiquer avec son entourage, si ce n’est avec quelques gestes maladroits. Sa vie va être bouleversée à l’âge de six ans quand ses parents engagent Annie Sullivan comme gouvernante. 
Annie Sullivan, alors âgée de 20 ans, vient de finir ses études à l’Institut pour aveugles Perkins. 
Elle-même mal voyante, elle a appris à enseigner la langue des signes dans cette institution précurseur. Elle va prendre en charge l’éducation de Helen Keller, et au fil des mois elle va réussir non seulement à établir un contact avec l’enfant, mais à lui apprendre le langage des signes, puis l’écriture. Les deux femmes resteront amies à vie. 
Helen Keller deviendra une figure de la société américaine, écrivain féministe,
 elle mènera également un combat politique, 
sera membre du parti socialiste américain et créera une fondation. Complémentaire des livres ou films existant à propos d’Helen Keller, cette bande dessinée est centrée
sur l’histoire de cette extraordinaire rencontre et sur les nombreux obstacles contre lesquels
va buter Annie Sullivan dans une famille très conservatrice du Sud des États-Unis. 
Une incroyable leçon d’humanité, magnifiquement dessinée par Joseph Lambert.


Aujourd'hui 15 octobre, nous vous proposons ces deux BDs comme illustration de la

Journée Internationale de la Canne Blanche

Chaque année, le 15 octobre, au cours de la Quinzaine du Glaucome, a lieu la Journée Internationale de la Canne Blanche.

La canne blanche est le symbole de la cécité et de la malvoyance.
Elle permet aux personnes aveugles et malvoyantes de se déplacer en rue, prévenant ainsi automobiles et piétons de leur handicap.

Il s'agit d'une invention récente : c'est en 1930 qu'une jeune Parisienne, Guilly d'Herbemont, en eut l'idée. Elle constata qu'en rue, le public, tant piétons qu'automobilistes, ne faisaient pas attention aux aveugles.

S'inspirant du bâton blanc des agents de police, elle parvint à convaincre la Préfecture de police de Paris d'autoriser l'usage de la canne blanche pour les aveugles et les malvoyants. Cette initiative audacieuse et novatrice fut bientôt connue et suivie, tant en France que dans le monde entier.

Notons qu'il existe différentes sortes de cannes blanches ainsi que des cannes jaunes. Leurs critères d'attribution sont extrêmement stricts.


Merci à Philippe pour l'idée et les fichiers

dimanche 7 octobre 2018

Le Sceau De L'Ange - 02 - 03 Patrick Cothias - André Le Bras (Série finie)

Genre :Non défini
Parution :Série finie
Tomes :3



























Le sceau de l'Ange
Tome 2
Une BD de Patrick Cothias et André Le Bras  chez Bamboo Édition (Grand Angle) - 2007
   01/2007    46 pages    Grand format 





 Le sceau de l'Ange
Tome 3
Une BD de Patrick Cothias et André Le Bras  chez Bamboo Édition (Grand angle) - 2008
   01/2008    46 pages   Grand format 




























samedi 6 octobre 2018

Le Sceau De L'Ange - 01 Patrick Cothias - André Le Bras

Genre :Non défini
Parution :Série finie
Tomes :3

  

Le sceau de l'Ange
Tome 1
Une BD de Patrick Cothias et André Le Bras  chez Bamboo Édition (Grand Angle) - 2006
  01/2006     46 pages    Grand format 


 Avant de devenir illusionniste, Martin Petibond était un expert des tables de jeu. Son talent l’a successivement poussé à franchir la ligne autorisée puis derrière les barreaux. C’est encore ce qui lui vaut d’être sollicité par une compagnie d’assurances qui souhaite surveiller de près les agissements d’un étrange personnage à la martingale infaillible.

Une nouvelle histoire mettant en scène un homme qui a déjà roulé sa bosse, maîtrise des facultés hors du commun et qui n’attend qu’une occasion pour céder à l’appel du pied de la grande aventure, fut-elle dangereuse ? Ô le joli point de départ que voilà ! Ajoutez à cela le monde de la nuit et du luxe, des gens fortunés ainsi qu’une dose de sang versé et de lieux étranges, et le cocktail devrait avoir du goût. L’assemblage est à n’en pas douter réalisé avec un savoir-faire évident (Mr Cothias au shaker quand même), il manque pourtant une note qui viendrait relever l’ensemble dans cette histoire.



Le constat vaut également pour le trait d’André Le Bras, d’une sobriété exemplaire. Des silhouettes, des perspectives et ensuite c’est aux inserts infographiques et aux couleurs de donner du réalisme et de la profondeur à l’ensemble. C’est du moins le sentiment que l’on peut avoir face à une tendance qui tend à se généraliser. Au point de créer un style ? Constater n’est pas encourager. Sans équivoque, on sera moins indulgent face au personnage d’Ykos, créature diabolique et toute puissante de service, tout droit sorti d’une séance de casting pour le personnage de jumeau albinos dans Matrix reloaded. Un méchant au charisme de verre de lait, c'est fade.


En guise de scène finale, sous l’œil passif et probablement éteint du lecteur, Martin (Martini dans la version italienne ?) offrira ses charmes à la courtière qui n’en attendait pas moins. C’est alors l’occasion d’un abrégé du Kâma-Sûtra sur fond de coucher de soleil. A la palette, pas de doute possible, c’est la signature de Pierre Schelle que le plus béotien aura reconnu, si identifiable et qui continue d’éblouir les amateurs de Golden city. On apprécie l'acidulé ou pas.

En se reprochant d’avoir trop gouté à la même base alcoolisée servie maintes fois sous des noms exotiques différents, on soupçonne un manque de lucidité en laissant son regard trainer sur la 4ème de couverture : Martin Petibond est devenu Valentin Petitbond. Coquetterie d'artiste pour un nom de scène ou grosse fatigue de lecteur ?
La tournée du patron ? Z'êtes sûrs ? Ah trois volets ? Un tome, ça va…

Par L. Cirade [www.bedetheque.com]



jeudi 26 juillet 2018

Les dessous de "Une nuit à Rome" HS - JIM


 HS. Les dessous de Une nuit à Rome - Illustrations et entretien avec JIM

Une BD de JIM chez Bamboo Édition (Grand Angle) - 2014
11/2014 (29 octobre 2014)    76 pages    Format normal

J'avais adoré les deux opus signés Jim.
Et là, avec cet album, Jim prolonge le plaisir que j'avais eu à la lecture de cette aventure.
Composé de deux parties, une consacrée aux entretiens, et l'autre aux illustrations, cet album est pour moi un must pour les amateurs d' Une nuit à Rome
Même pour ceux qui, comme moi, avaient acheté les versions "dos toilés" de ce diptyque (avec pas mal de bonus), ce livre n'est pas redondant.
Les entretiens menés par Aurélien Ducoudray sont très intéressants et les commentaires de Jim, notamment sur "l'étreinte interdite" sont très pertinents.
Reste LA partie d'illustrations de ce livre qui est d'une grande beauté. Les planches et crayonnés sont magnifiques et apportent à ce diptyque une plus value non négligeable.
Avec cet album, les éditions Bamboo frappent fort, avec un art-book très abordable au niveau prix et d'une très grande qualité graphique.

J'en conseille évidemment l'achat et la lecture pour les inconditionnels de Jim, que je suis personnellement depuis "Petites éclipses ".


Par Herve26 






















Publié par Monsieur Augustin

samedi 12 mai 2018

La Vénitienne 02-.La Colombe noire. Patrice Ordas & Laurent Gnoni (Série finie)



2. La demoiselle du grand canal

Une BD de Patrice Ordas et Laurent Gnoni chez Bamboo Édition (Grand Angle)
05/2015 (13 mai 2015)          46 pages       Grand format 


Considérée avant tout comme un esprit libre qui s'est souvent dressé contre l'obscurantisme et la tyrannie, Constantza, la nièce du doge de Venise, est prisonnière du Barbier. Le marquis Casaponti constitue une équipe d'étudiants et de marins et part au palais des Misères afin de la libérer. 
Hélas, tous ne survivront pas à l'assaut. 
Les sombres heures de la vengeance vont bientôt résonner dans les rues de la Sérénissime.
Considérée avant tout comme un esprit libre qui s’est souvent dressé contre l’obscurantisme et la tyrannie, Constantza, la nièce du doge de Venise, est prisonnière du Barbier. Le marquis Casaponti constitue une équipe d’étudiants et de marins et part au palais des Misères afin de la libérer. Hélas, tous ne survivront pas à l’assaut. Les sombres heures de la vengeance vont bientôt résonner dans les rues de la Sérénissime.


Prisonnière du Barbier, Constantza subit les outrages et les humiliations de ses geôliers. Loin de l’oublier, Aurelio di Casaponti s’évertue à réunir la rançon qui lui permettrait de la libérer. Mais il en est certains pour qui le retour de la nièce du Doge ne servirait que fort peu leurs affaires ! Mal leur en prendra…

S’inscrivant dans la lignée de La colombe noire, La damoiselle du grand canal en cultive les qualités comme les défauts. Au crédit au Patrice Ordas, il convient de porter une plongée dans l’envers du décor vénitien, que bien peu osent faire, exceptés Zidrou ou Paolo Bacilieri. Cette prise à contre-pied de la société lagunaire, telle qu’elle est généralement dépeinte et imaginée, fait l’attrait de ce diptyque. Si le premier volet s’attachait à une aristocratie essentiellement préoccupée de préserver un ordre qui lui était inféodé, le second s’enfonce encore plus dans les eaux boueuses et met en avant le petit peuple qui y vit et la cruauté qui y règne. Parallèlement, le scénariste décrypte les relations conflictuelles que la République entretenait avec la papauté et donne à voir la face cachée d’une ville où le commerce et son mètre étalon, le ducat, avaient force de loi. Il est toutefois à regretter la conversion par trop rapide d’une aristocrate futile en petite sœur des pauvres !

Sur une trame où le cadre historique l’emporterait presque sur la fiction, une autre réserve reste le parti-pris graphique de Laurent Gnoni. Un rien de réalisme supplémentaire n’aurait pas nuit à l’esthétique de l’album, même si force est de constater que scénario et dessin se complètent et forment un tout cohérent et homogène.

Loin des clichés faisant de Venise un paradis à fleur d’eau, La vénitienne en offre une lecture plus noire, toute en ambiguïté et contradictions à l’image de ce mystérieux Comte de Palomanera.

Par S. Salin





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